Le théâtre s’élevait au cœur de le village, assujettissant nonobstant ses locaux fissurés et son société décolorée. Abandonné depuis plus d’un siècle, il avait à la renaissance agréé les de plus en plus musiciens de son période. Mais aujourd’hui, seuls le vent et la poussière animaient encore ses routes désertes. https://stephenahotz.myparisblog.com/34325189/la-dernière-opinion-suspendue