Arthur resta figé sur la scène, le regard défini sur le violon suspendu qui venait de vibrer dans le calme du théâtre. Il n’y avait personne, pas de mouvement, aucune brise assez conséquente pour mélanger un tel son. Pourtant, l’instrument semblait s’animer solitaire, comme s’il répondait à bien un référencement https://marcorwxxv.tkzblog.com/33573480/l-écho-des-cordes-surnaturels