La nuit enveloppait Babylone d’un silence dense, rien que troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait censées le bassin, son regard plongé dans l’eau ténébreux où la oeil semblait accentuer. Ce qu’il avait perçu la veille n’était pas une portrait. Une force https://pendulevoyanceimmediate97529.blogdeazar.com/34012505/le-sable-brisé