Chaque soir, Liora ravivait le fusée dans l’âtre rond en plein coeur de son fabrique. Elle y jetait les contenus de cuivre en calme, donnant les sensualités danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un habitude. C’était une aspiration lente, une marotte née d’un geste ancien répété en permanence. https://voyance-gratuite-en-ligne41738.wikipresses.com/5348319/les_contours_calmés