Les journées passaient dans un rang intemporelle, rythmés par la clarté pâle du nord et les virages ritualisés des corneilles. À l’aube, elles s’élevaient doucement, en spirale, tels que si le ciel lui-même les désirait à tracer des symboles intangibles. L’enfant, dès maintenant adolescente, se tenait chaque matin au foyer https://andypqolg.thekatyblog.com/32924303/le-départ-des-doubles-ombres