Sous la vaste rond translucide du dôme martien, les journées s’écoulaient avec une lenteur oppressante. Alia ressentait le poids idéal des projections silencieuses sur les parois. Elles étaient dès maintenant permanentes, doucement mouvantes, à savoir une vapeur dense qui refusait de répandre. Ces portraits, nées des regrets cachés et non https://manuelwuqlg.blogpostie.com/55761123/le-dôme-des-lamentation